Entre lecture et concert, cette performance restitue l’atmosphère singulière que dégage le roman L’Hôte d’Ariane Koch (Robert Laffont). En français, en allemand et en anglais, elle explore avec son traducteur Benjamin Pécoud un texte dont la narratrice prétend qu’il ne saurait être traduit. Les mots sont lus, traduits et chantés, ils sont accompagnés par Nadja Zela à la guitare, à l’harmonium ou à l’accordéon, et peu à peu se découvre un territoire entre les langues, les mots et le son. Elle propose une approche multilingue d’un texte tout à la fois « mystérieux, absurde et profond ».