« C’est une chanson de 300 pages écrites en vers dévergondés, au fond de la classe près du radiateur. »
C’est ainsi que Thomas Fersen qualifie Dieu sur Terre, son premier roman. Entre souvenirs autobiographiques et fantaisie poétique, Thomas Fersen met son talent de musicien au service d’un texte rempli d’émotion, d’humour et de fantaisie. Dans ce récit tout en octosyllabes, il imagine un adolescent rêveur dont la vocation serait de chanter la vie qui s’anime vue de son balcon dans le Ménilmontant et le Pigalle des années 60 et 70. On y croise un grand frère adulé, des costauds qui impressionnent, des filles qui émoustillent et des guitares électriques dans des vitrines.
Lecture suivie d’un dialogue musical animé par Michaël Perruchoud.